les ateliers kam'art edition 2019

Mboom !!! comme un tonneau qui se renverse, ce bruit marque la fin de ce lourd et beau parcours.

Ouuuuf ! D’octobre à Janvier, il fallait bien apprendre des choses sur la photographie professionnelle.

Entre des notions telles que :

- La prise en main de l’appareil

- Le choix de l’appareil photographique

- La notion de netteté

- Notion d’exposition

- La gestion de la lumière

- Le fonctionnement de la mise au point

- Le collimateur -

- Histogramme

- Les valeurs des plans

- Les règles des tiers

Les plans d’éclairage etc…

Tout pour sortir de cette formation un magnifique et par rigueur un vrai photographe pas opposition aux photographes avec des gilets à plusieurs poches dixit un de mes profs.

Ah ! Pourquoi j’écris même cet article sur cette session des Ateliers KAM’ART ?

Peut-être parce que j’ai une nouvelle vision delà photographie au-delà de ce que je pensais. Bref, me faire sortir de mes préjuges d’amateur. Durant cette période, j’ai rencontré une nouvelle famille. Certains sont partis, d’autres sont venus mais nous avons gardé la même alchimie. Tu penses à quoi ? je parle tout simplement de notre petit code. Je vous explique : enfaîte tous ceux qui venaient en retard après 10h achetaient automatiquement les beignets à tous les étudiants présents et venus à l'heure, c’était très rigolo caractérisés par des courses sur les marches, les petites disputes genres qui est venu après 10h et bien d’autre, puis on tapaient sur la table comme les gamins de 4, 5, 6 ans cela nous faisait être ponctuelle pour éviter d’être punir. D’ ailleurs même les enseignants invités passaient par moment à la caisse. Je me rappel très bien le cas de Monsieur Henri LOTIN qui nous a acheté les beignets de 2000 Fcfa après avoir fait 4 min de retard.

Produire cet article est pour moi une manière de mettre sur écrit cette belle expérience que j’ai passé avec mes frères. Grace a cette session de formation, j’ai bien saisi pourquoi la majeure partie de nos enseignants insistait sur cette action de rompre avec cette conception « Des photographes de 300 Fcfa » (pour comprendre cette notion confère Max MBAKOP il pourra mieux vous expliquer M.D.R) pour nous forger un réel profil dans cette aventure qui nous passionnait. Pour y arriver, il était question de nous plonger dans le travail et le travail, afin de sortir quelque chose de propre mieux singulier à nous (le soit, bref l’œil du photographe plus précisément) c’est ce que nous avons essayé de faire. En ce jour, ou nous faisons pour la plupart notre premier exposition dans le Hall de l’Institut Français de Cameroun site de Douala, est pour nous un moyen de vous présenter de manières humble les efforts abattus durant cette période.

PARLE MOI DE TON QWAT loin d’être une véritable manière de parler de notre environnement de vie, mais aussi un moment de faire parler en nous ce virus que nous a transmit:

Max MBAKOP,

Alain NGANN,

Francis TAKA,

Henri LOTIN,

Lionel BALLA,

Edith MBELLA,

Xavier MESSINA,

Lionel MANGA…

Merci pour ce bijou que vous nous avons légué, hier c’était une passion maintenant c’est un héritage. Nous en ferons bonne usage. Big up a tous ceux avec qui nous avons charbonné pendant cette aventure je pense à :

237 Photography,

Blik po’sey,

El thodoro,

Elie kya,

phanie ely,

Fxkens,

Is.C,

La clé de Fa,

Lionel Parizo,

Heben’s,

Pascovy,

Vokeng

retenez bien ces noms.

Les Ateliers KAM'ART sont terminés vive notre nouvelle aventure : La photographie professionnelle.

Mercredi le,06 Février 2019